La danse sauvage, Josephine Baker, dans la revue Nègre, 1925
Isham Jones et son orchestre, Charleston , 1925
La Revue nègre au Music-hall des Champs-Élysées – affiche de Paul Colin – 1925
Echauffement articulatoire
Marwan Ayman
Echauffement vocal
Gangsta Paradies
BEAT BOX
Pose ta caPUch' vas y
Pose ta caPUch'
BASSE OBSTINEE :
LAb FA SOL DO
OSTINATO MELODICO-RYTHMIQUE
(RIFF)
DO DO DO DO SI SI DO SOL
+
WHOU DOU LOU di DOU DOU WHO
DO .... MIb Ré Do si Do Sol
REFRAIN
been spending most their lives,
living in the gangsta's paradise (bis)
keep spending most our lives,
living in the gangsta's paradise (bis)
+ ...
TELL ME WHY AARE WE,
SO BLIND TO SEE
THAT THE ONES WE HURT,
ARE YOU AND ME
been spending most their lives,
living in the gangsta's paradise (bis)
keep spending most our lives,
living in the gangsta's paradise (bis)
Coolio, Gangsta Paradies
Rappel du cours précédent :
1 élève prend la parole pour expliquer la vidéo comparée de la semaine précédente
Questions d'explosions par le jeu sonore des cassures rythmiques :
Rappel le Sacre du Printemps de Stravinsky (scandale de 1913)
qui casse le rythme régulier et confortable de la valse à trois temps
Joséphine Baker
1925
Comment bousculer les tabous
Faire réfléchir avec son corps et l'énergie rythmique
(aux origines des danses urbaines
de la street dance)
La danse sauvage, Josephine Baker, dans la revue Nègre, 1925
Isham Jones et son orchestre, Charleston , 1925
La Revue nègre au Music-hall des Champs-Élysées – affiche de Paul Colin – 1925
Le 2 octobre 1925, à 21 h 30, le Tout-Paris se presse au théâtre des Champs-Élysées pour l'événement de l'année, la première de la Revue nègre. Le jazz a débarqué depuis peu en France, l'art nègre est devenu à la mode grâce à Picasso et aux cubistes. Toutes les célébrités parisiennes sont présentes dans la salle. Voilà Robert Desnos, Francis Picabia, Blaise Cendrars... Dans les coulisses, Joséphine Baker a un trac fou.
Le rideau se lève. Les musiciens vêtus de costumes rouges commencent à jouer. Le décor est celui d'un quai sur le fleuve Missouri avec des bâteaux à vapeur…
C.Perriand,Josephine Baker, vers 1925, crayon et aquarelle sur carton, 31,1X27,5cm AchP.
Alexander Calder, Josephine Baker IV, (1926) 1928, sculpture en fil de fer, 99x56,6x24,5com, don de l'artiste, 1966, NY, MOMA.
L'émancipation féminine à travers la figure de "la garçonne"
Le Charleston participe aux origines des danses urbaines
vers 18'58 à propos de l'arrivée décapante de Joséphine Baker
au milieu de la propagande raciste quotidienne des années 1920
https://www.arte.tv/fr/videos/102528-001-A/l-histoire-de-la-street-dance-1-2/
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